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Le bonheur dépand-t-il d'une bonne par de l'argent?

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15 juin 2011

Bibliographie

1. Les livres :

*Sébastien La distinction. Critique sociale du jugement, Pierre Bourdieu, coll. Le sens commun, éd. de Minuit, 1979, 672 p.. Publier le 31 mars 201

disponible sur : http://www.brocooli.com/penser-l-homme/le-sens-du-bonheur-une-valeur-a-partager/ (consulter le 17/06/11)


2. Les periodiques :


*Amsili Sophie  L'argent fait le bonheur... jusqu'à 4900 euros par mois.Le figaro publier le 07/09/2010

 

  • source : http://www.lefigaro.fr/conso/2010/09/07/05007-20100907ARTFIG00411-l-argent-fait-le-bonheur-jusqu-a-4500-euros-par-mois.php (consulté le 15/06/11)

 

*Bertout Elisabeth Materialisme, bonheur, des valeurs qui s'opposentCourrier international

 

*Bronnec Thomas L'argent ne fait pas le bonheur, et c'est l'Insee qui le dit. L'expresse publié le 06/11/2008source : http://www.courrierinternational.com/chronique/2005/09/29/materialisme-et-bonheur-des-valeurs-qui-s-opposent ( consulté le 15/06/11)

Disponible sur : http://www.lexpress.fr/actualite/economie/l-argent-ne-fait-pas-le-bonheur-et-c-est-l-insee-qui-le-dit_689569.html (consulté le 15/06/2011)

 

*Couprie Hélene Amour, argent et pouvoir L'expension publier le 01/03/09

Disponible sur :http://lexpansion.lexpress.fr/economie/amour-argent-et-pouvoir_175469.html (consulté le 15/06/2011)

 

3. Les sites internet :

*Prieur Anaïs Les Amish, un peuple simple et retiré vivant aux Etats-Unis Suite101 22novembre2010

 

disponible sur :http://www.suite101.fr/content/les-amish-le-peuple-simple-et-retire-des-etats-unis-a21163#ixzz1Cmzk7QPo (consulter le 15/06/2011)

 

*Un élève deTES Le bonheur réside-t-il dans la réussite professionnelle ?philocours.compublier le 02/05/05

disponible sur : http://www.philocours.com/metho/copiedeleve/copie%20bonheur%20et%20travail.htm (Consulté le 15/06/2011)

 

*  André. M. Ceux qui croient aux richesses.dufonddemoi

disponible sur : http://dufonddemoi.rmc.fr/496883/Entre-amour-et-argent (consulté le 17/06/11)

 

4. La vidéo :

*Les liaisons sont parfois dangereuses entre l’argent et l’amour. télématin samedi 23 octobre 2010

Source : http://telematin.france2.fr/?page=chronique&id_article=21023 (consulté le15/06/2010)

 

5. L'image :

*Robert caricature n°2  eutanasie.Publier le 12 fevrier 2008 

 Source : http://euthanasie-tpe.over-blog.com/categorie-10312988.html (consulté le 17/06/11)

 

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11 mai 2011

Caricature

Euthanasies

Resumer : Sur la caricature on peut voir un homme agé et quatre personnes qui évaluent ce qu'il coute. La question que cette image nous pose  est "Peut-ons acheté la vie d'un homme?". Jusqu'ou peut on acheter?

Source : http://euthanasie-tpe.over-blog.com/categorie-10312988.html

Publier le 12 fevrier 2008 par Robert

11 mai 2011

Le sens du bonheur, une valeur à partager

L’économie du bonheur, sur ce vaste sujet, je vais tenter d’exprimer quelques idées nourries de mon parcours de sociologue et de psychothérapeute centré sur la personne exerçant depuis plus de 10 ans en Midi-Pyrénées.

A la première lecture, cette association de mots peut sembler déplacée voire choquante, l’économie renvoie spontanément aux affaires, au commerce ou à l’argent.
Le bonheur, quant à lui, parle d’une aspiration humaine profonde devenue, avec le développement de nos sociétés occidentales, un droit au bonheur, une exigence que l’Etat providence doit nous garantir d’un côté l’économie “bassement matérielle”, de l’autre le bonheur, “valeur” quasi sacrée. Le sociologue Pierre Bourdieu avec sa notion de champ peut éclairer cette opposition apparente : “le champ est une sphère de la vie sociale qui est devenue progressivement autonome à travers l’histoire” (Bourdieu, 1979) .

Je ferais donc l’hypothèse que depuis la fin de la seconde guerre mondiale, le champ du bonheur s’est institué comme un domaine social autonome dans lequel se joue “un rapport de forces entre dominants et dominés où les agents sociaux s’affrontent pour conserver ou transformer ces rapports de forces. Chaque champ se caractérise par des mécanismes spécifiques de capitalisation des ressources qui lui sont propres” (Bourdieu, 1979) . Bourdieu analyse sociologiquement ces sphères d’activités sociales avec des concepts économiques dont la notion de capital : “Le capital est ce qui s’accumule, se transmet et permet de dégager des profits”. Existerait-il un capital bonheur ? Répondre oui signifierait que le bonheur s’accumule… Or les philosophies de sagesse de vie ou les grandes traditions spirituelles opposent plutôt l’avoir à l’être et placent le bonheur du côté de ce dernier. L’accumulation renvoie aussi à une dimension temporelle, et là encore il semblerait que le bonheur est fait d’instants plus que de durée. Ici le rôle de la mémoire est important car elle est ce qui permet de re-présenter, rendre présent à nouveau ce qui est passé. Faire mémoire de moments de bonheur me rend heureux et peut permettre de transmettre du bonheur. La transmission dans le partage permet donc de dégager et de distribuer du profit, du bonheur. Le mécanisme de contagion émotionnelle joue ici son rôle par l’intermédiaire de l’empathie relationnelle. Les derniers travaux en neurologie avancent une empathie neuronale qui déclenche les mêmes circuits cognitifs et comportementaux en utilisant les neurones miroirs pour une personne se mettant à la place d’une autre vivant une situation particulière. Etre empathique avec une personne exprimant une situation de bonheur active les circuits du bonheur pour moi qui l’écoute. Ma pratique professionnelle de sociologue, de formateur et de psychothérapeute repose sur une écouté particulière basée sur la confiance dans les ressources psychosociales de la personne et sur la mise en place d’un climat relationnel de sécurité psychologique et de liberté d’expression permettant à la personne de mettre en place une actualisation de ses potentiels de faire face dans son existence.

A ce stade, je ne peux m’empêcher de rappeler que la France est le premier pays au monde relativement à sa population, dans la consommation de psychotrope. D’après l’Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies qui est l’organisme public chargé du recueil, de l’analyse et de la synthèse des données relatives aux drogues illicites, à l’alcool et au tabac en France (OFDT 2009) :
“Près de quatre adultes sur dix (37 %) disent avoir déjà pris un médicament psychotrope au cours de leur vie, et un cinquième (19 %) indique l’avoir fait au cours de l’année écoulée”. Ces chiffres indiquent ainsi le poids financier du mal être dans l’économie de la santé publique.

Je ne peux terminer sans exprimer mon insatisfaction des décisions législatives prises concernant le titre de psychothérapeute dont se trouvent exclus les seuls praticiens réellement et sérieusement formés à ce métier. Pour autant je ne suis pas en train de désigner la psychothérapie comme remède miracle aux maux, mais mon expérience professionnelle me montre que les personnes qui s’engagent dans ce processus sans toujours gagner le bonheur arrivent, en reprenant les mots de John Shlein, psychothérapeute centré sur la personne et décédé en 2002, à “vivre une vie honorable” (cf infra).

Personnellement accompagner ces personnes dans ce but participe à mon bonheur.

Références bibliographiques :
La distinction. Critique sociale du jugement, Pierre Bourdieu, coll. Le sens commun, éd. de Minuit, 1979, 672 p.
To Lead an Honorable Life: Invitations to think about client-centered therapy and the person-centered approach, pccs books, 2003.

Résumé : Cet article est rédigé par Sébastien Daix, psychothérapeute et sociologue, formateur à l’écoute active sur Toulouse. Il nous apparait que le bonheur et l'argent ne sont pas toujours des valeurs que l'on peut assosier.

Source : http://www.brocooli.com/penser-l-homme/le-sens-du-bonheur-une-valeur-a-partager/

Auteur Sébastien. Publier le 31 mars 201

11 mai 2011

Materialisme, bonheur, des valeurs qui s'opposent

L'argent ne fait pas le bonheur… La recherche psychologique récente a non seulement montré la vérité de cette maxime, mais a commencé à démontrer que quand les gens organisent leurs vies autour de la poursuite de la richesse leur bonheur peut même diminuer.

Les études sur les rapports entre le bonheur et la richesse matérielle des psychologues américains E. Diener et D. Myers, rapportées par l'American Psychological Association (APA), soulignent que "les individus sont plus heureux s'ils vivent dans les pays riches plutôt que dans les pays pauvres. Cependant, une fois qu'ils ont assez d'argent pour subvenir aux besoins de base comme la nourriture, un toit, etc., l'argent ne contribue pas beaucoup à améliorer leur bonheur. Ni les hausses de la croissance économique nationale, ni les augmentations de revenus personnels n'ont beaucoup d'effet sur le bien-être personnel des citoyens."

La recherche va plus loin en montrant que ceux qui "adhèrent aux messages de la culture de consommation ressentent moins de bien-être personnel". Selon une étude récente, les individus qui déclarent que "l'argent et la popularité sont relativement importants à leurs yeux obtiennent moins de satisfaction dans la vie, moins d'expériences d'émotions plaisantes et sont atteints de plus de dépression et d'anxiété". Des résultats similaires ont été démontrés pour une variété de groupes d'âge et de populations à travers le monde. En outre, cette étude suggère que "la lutte pour la richesse nuit aussi aux relations sociales et favorise des comportements non écologiques".

En réaction à cette réalité, on constate que beaucoup de gens essaient d'adopter un mode de vie qui leur permet de libérer du temps plutôt que de viser l'acquisition de biens matériels. Ils sont soutenus par l'idée que l'augmentation du temps libre apporte plus de bonheur et de sens à la vie.

Matérialisme et bien-être psychologique

Dans un précédent article, l'APA mentionnait l'existence d'études dont les résultats convergeaient pour montrer que "les individus peu matérialistes obtiennent plus de satisfaction dans leur vie que ceux qui sont matérialistes. Ces derniers éprouvent presque autant de satisfaction que ceux qui sont peu matérialistes s'ils ont beaucoup d'argent et si leur style de vie acquisitif n'entre pas trop en conflit avec d'autres valeurs ou besoins." En revanche, "les matérialistes qui ont moins d'argent et d'autres désirs ou valeurs qui entrent en contradiction avec la lutte pour gagner de l'argent – ce qui est la situation la plus fréquente – sont plus malheureux que les non-matérialistes".

La relation entre matérialisme et états mentaux est complexe. La recherche en psychologie ne détermine pas si le matérialisme réduit le bien-être, ou si le manque de bien-être (ou de bonheur) alimente le matérialisme, ou les deux. "Plusieurs facteurs peuvent expliquer le prix apparent de la poursuite de la richesse. Une importante tendance à consommer peut nuire en raison du temps prélevé aux situations favorisant le bonheur, comme les relations avec la famille et les amis."

Les individus ayant de fortes valeurs matérialistes ont tendance à être orientés vers des buts qui conduisent moins au bien-être, selon le Dr Tim Kasser, auteur du livre The High Price of Materialism* et coauteur de Psychology and Consumer Culture**. Il présente des études qui montrent que quand "les individus organisent leur vie autour de buts extrinsèques comme l'acquisition de biens, ils éprouvent moins de satisfaction dans leurs relations, ont une humeur moins bonne et davantage de problèmes psychologiques". Il distingue "les buts extrinsèques, comme les possessions, l'image, le statut, les prix et la gloire, et les buts intrinsèques comme le développement personnel et le contact avec la communauté qui sont satisfaisants en soi".

Il apparaît que les matérialistes ont souvent "des attentes irréalistes par rapport à ce que des biens de consommation peuvent apporter à leurs relations, leur autonomie et leur bonheur. Ils croient que l'acquisition de biens va changer leur vie." Un exemple qui est donné est celui d'un homme qui souhaitait désespérément acquérir une piscine afin de pouvoir améliorer sa relation avec sa fille de 13 ans.

Etant donné que nous vivons tous dans la même culture de consommation, pourquoi certains d'entre nous développent-ils de fortes valeurs matérialistes alors que d'autres ne le font pas ? se sont demandés les psychologues. Une voie de recherche suggère que l'insécurité financière et émotionnelle serait un facteur important. "Lorsque les individus grandissent en étant maltraités par leurs parents, en vivant dans la pauvreté ou en devant faire face à la menace de la mort, ils s'adaptent souvent en devenant plus matérialistes."

Une étude publiée dans Developmental Psychology en 1995 était la première à le démontrer : "les adolescents qui avaient les attitudes les plus matérialistes étaient les plus pauvres et ceux qui recevaient le moins d'affection de la part de leur mère". En 1997, une étude montrait que "les jeunes dont les parents étaient séparés étaient plus portés à développer des valeurs matérialistes plus tard dans la vie". Et, selon une autre étude parue dans le Journal of Consumer Research en 2002, "les matérialistes les plus malheureux seraient ceux dont les valeurs matérialistes entreraient le plus en conflit et en contradiction avec d'autres valeurs. Ceux qui possèdent des valeurs 'prosociales' (famille, communauté) importantes par exemple, vivent plus de stress que ceux qui ont peu de ces valeurs."

 

Resumer : Somme nous a la poursuite perpétuelle de la richesse? On nous montre qu'être materialiste ne vas pas le bonheur.


Source : http://www.courrierinternational.com/chronique/2005/09/29/materialisme-et-bonheur-des-valeurs-qui-s-opposent

6 avril 2011

Le bonheur en tant quépanouissement personnel

A) Le travail peut nous rendre heureux dans le sens où il permet de combler mes satisfactions personnelles


Si l'on se borne à la définition première du bonheur, le bonheur à travers l'épanouissement personnel, alors on peut dire que la réussite professionnelle peut m'apporter du bonheur car elle est équivalente à un niveau de vie plutôt aisé et une vie matérielle confortable grâce à l'argent que j'en retire.
Le travail peut également donner du plaisir par l'accomplissement d'une activité qui me plaît. Le bonheur se mesurerait à la capacité à conformer l'environnement à sa volonté et à réaliser les projets auxquels on tient, donc lorsque je travaille, l'ouvrage que j'ai réalisé, à défaut d'être une "raison de vivre", peut être générateur de réelles satisfactions. Car si ce travail ne produit pas le résultat espéré, je serais malheureux mais en cas de réussite, le travail ajoutera beaucoup à mon bonheur. Le fait de s'atteler à de grands travaux et de les réussir, apporte une grande satisfaction personnelle, avec le sentiment d'avoir accompli quelque chose de dur, ce qui nous rend fier et heureux. On ne peut donc pas trouver la félicité dans la paresse, car si on retire un très grand bonheur d'un travail réussi malgré ses difficultés, un tel bonheur n'est jamais donné à un paresseux. Une cause perdue ne rend pas heureux, tandis qu'un succès, de temps en temps c'est important.
Le travail est un moyen de réaliser nos passions, il est ce par quoi l'homme peut s'exprimer en tant qu'individu, par le biais d'une activité qui le caractérise. Le travail d'un homme le définit largement, exemple de l'artiste, le peintre ou l'écrivain, leur travail ne serait-il pas classé dans le domaine de la production ? Ils ne vivent qu'à travers leur passion, qui bien souvent prend le pas sur le reste, et passe avant tout. Dès lors, ne peut on pas dire que si on leur retire son « travail », ils en souffriraient ? Les passions sont ce qui fait pour l'homme que le monde à une valeur, elles nous rendent sensibles au monde, et selon Hegel, rien de grand ne s'est fait dans le monde sans passions. Dans la vie, on a besoin d'accomplir quelque chose, or l'action passe à travers nos passions, la création par l'accomplissement est primordiale pour se sentir exister. Et ceux qui n'ont pas de passion sont en quête de matière pour créer, et la seule matière qu'ils trouvent, est le travail. C'est pourquoi il est si fréquent d'entendre dire « mon travail, c'est ma passion ». Or les passions, au sens positifs, sont ce qui contribuent à nous rendre heureux.
Pour quelles raisons peut-on affirmer que le désir nous pousse à travailler ? La réussite dans le travail permet une satisfaction de soi, une reconnaissance sociale, un sentiment de supériorité parfois, dans un monde où le paraître, et le regard des autres sont primordiales. Par exemple dans notre société, être au chômage est vécu comme quelque chose de honteux et comme la pire punition qu'un homme peut subir dans sa vie, il retire en effet toute utilité sociale, tout sentiment d'appartenance à une communauté.

Auteur : Un éleve de TES publier le 02/05/05


Résumer : C'est un extrait d'une copie d'un éleve dont le sujet est : le bonheur réside-il dans la réusite professionnelle? Le bonheur réside dans la vie vie professionnel si nous fesons un travail qui nous  plait et qui nous permet d'en vivre économiquement. 


Source : http://www.philocours.com/metho/copiedeleve/copie%20bonheur%20et%20travail.htm

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6 avril 2011

Amour, argent et pouvoir

Au sein d'un couple, les choix de consommation sont déterminés par le partenaire qui gagne le plus.

Quand Cupidon frappe, rend-il tout à coup hommes et femmes altruistes envers leur tendre moitié ? Et si c'est le cas, le partage des revenus s'opère-t-il en fonction des besoins et des désirs de chacun, ou bien selon sa contribution au budget du ménage ? Des études récentes lèvent le voile sur ce sujet peu exploré.

Une expérience, menée à Toulouse au printemps dernier auprès d'une centaine de couples, permet de mieux connaître les termes de la coopération. On a proposé à chaque participant une somme de 200 euros, en précisant qu'une somme identique était attribuée à son conjoint. Il pouvait toutefois préférer qu'une somme de 450 euros soit entièrement allouée au conjoint. Autrement dit, chacun devait déterminer s'il valorisait d'abord l'égalité de revenu au sein du couple, ou bien si, totalement en confiance, il préférait que le couple obtienne plus.

Résultat : dans environ un cas sur deux, un des partenaires au moins privilégie une répartition égalitaire de la somme. Tant pis si le ménage dans son ensemble reçoit moins qu'il ne le pourrait ! Ceux qui vivent ensemble depuis longtemps, ceux qui ont des enfants, ainsi que les femmes, sont les plus méfiants, et préfèrent massivement une répartition égalitaire de l'argent, quitte à toucher moins.

Plusieurs autres études éclairent ce résultat, en montrant que c'est celui qui gagne le plus qui détient effectivement le pouvoir. Si l'on compare la consommation d'un couple avec celle de ses membres lorsqu'ils étaient célibataires et faisaient donc leurs choix de manière autonome, il apparaît que la structure de la consommation du couple se rapproche systématiquement et nettement de celle du conjoint au revenu le plus élevé. Autrement dit, le partenaire au plus bas revenu s'adapte aux désirs de l'autre, de manière consciente ou non.

Cela ne signifie pas que le plus pauvre soit mal loti en vivant en couple. Au total, le couple a un niveau de vie plus élevé que chaque célibataire pris isolément, en grande partie en raison des économies de loyer. Mais épouser quelqu'un de plus riche ne permet visiblement pas de consommer à sa guise, selon ses préférences personnelles, comme si l'on gagnait bien sa vie, par soi-même. Ces données acquièrent un intérêt tout particulier quand on sait qu'en moyenne les Françaises disposent d'un revenu personnel inférieur de 30 % à celui des Français.

 

Hélène Couprie :  chercheuse à l'école d'économie de Toulouse.

publié le 01/03/2009

 

Résumé : Une chercheuse a l'école d'économie nous montre qu'il n'est pas évidant au sein d'un couple de trouvé un équilibre entre amour,pouvoir et argent.

source : http://lexpansion.lexpress.fr/economie/amour-argent-et-pouvoir_175469.html

6 avril 2011

L'argent ne fait pas le bonheur, et c'est l'Insee qui le dit

Dans son traditionnel "Portrait social de la France", l'institut national de la statistique publie une étude sur le bonheur. Pour Cédric Afsa, le co-auteur de cette étude, l'impact de l'argent sur le bien-être est très modeste. Il explique pourquoi à LEXPRESS.fr.

 

L'Insee publie une étude sur le bonheur. Comment les économistes s'y prennent-ils pour le mesurer ?
Ce n'est pas quelque chose de facile. Nicolas Sarkozy a mis en place une commission, présidée par Joseph Stiglitz, pour réfléchir à cette question. Nous nous sommes basés sur une étude conduite chaque année depuis 1975, par Eurobaromètre, qui demande aux personnes interrogées leur degré de satisfaction sur la vie qu'ils mènent.

Le bien-être en économie, c'est donc avant tout un sentiment,  qui évolue au cours de la vie. Il est déterminé par des facteurs que l'on peut observer et mesurer : le revenu, la santé, le patrimoine. Mais aussi, et même surtout, par des facteurs plus psychologiques. : l'optimisme, la comparaison avec les autres, l'adaptation de nos attentes à la réalité... On peut se fabriquer notre propre malheur si on se fixe des objectifs inatteignables.

Quel impact a l'argent sur le bonheur ?
Il a clairement un impact positif sur l'expérience du bien-être, et ce à tout âge. Mais cet impact diminue tout au long de la vie. Comme le montre la courbe ci-dessous, les Français se sentent plus heureux après 50 ans, avec un pic de bonheur à 65 ans, alors que la courbe du revenu atteint, elle, son maximum à 45 ans.

L'argent ne fait pas le bonheur, et c'est l'Insee qui le dit

Insee

Il faut aussi souligner que l'impact de l'argent, s'il est positif, est relativement modeste. Nous avons construit une autre courbe en supposant que le revenu reste identique à tout âge. Elle n'a pas une forme très différente...

L'argent ne fait pas le bonheur, et c'est l'Insee qui le dit

Insee

Notre étude le confirme : l'argent ne fait pas le bonheur...

La crise a-t-elle renforcé l'intérêt des économistes pour le bonheur ?
Les économistes publient beaucoup de travaux sur ce thème, et ce n'est certainement pas un hasard. La crise a sans doute aussi redonné de l'intérêt pour ce type de recherche, qui se nourrit également des doutes sur la capacité de la croissance économique à générer le progrès social.

Auteur : Cédric Afsa

publié le 06/11/2008 à 16:12

 

Résumé : C'est une enquête de l'INSEE qui montre l'impact de l'argent sur le bonheur.

 

source : http://www.lexpress.fr/actualite/economie/l-argent-ne-fait-pas-le-bonheur-et-c-est-l-insee-qui-le-dit_689569.html

6 avril 2011

Entre amour et argent

Entre_amour_et_argent

Ceux qui croient aux richesses.

Je m’adresse à vous tous, vous les matérialistes

Qui ne donnent d’amour qu’à des cartes bancaires

Mais aussi à vous messieurs les intégristes

Que vous soyez d’Alger, que vous veniez du Caire,

Vous tous les invincibles qui imposez vois lois

Qui par vos convictions humiliez sur la terre

Ceux qui n’ont pas d’argent ou n’ont pas votre foi

Qui refuse d’entrer dans ces milieux sectaires ;

Croyez vous aujourd’hui, que l’argent et vos Dieux

Peuvent vous protéger d’un tremblement de terre

Que toutes vos croyances et vos billets odieux

Peuvent vous épargner ces images de guerre ;

Si seulement demain, cela vous arrivait

Pensez qu’il vous faudra, demander, partager

Mais saurez vous le faire, saurez vous vous priver

Pour un vêtement chaud, un quignon à manger ?

Quand on voit les images de tels cataclysmes

On se trouve petit, vulnérable, impuissant

Et épris tout à coup d’un troublant réalisme

Qui nous fait oublier nos propos indécents,

Sur les races, les couleurs, sur nos appartenances

Sur ces dieux inconnus qui dirigent le monde

Sur certaines valeurs à nos yeux d’importances

Sur des mots des pensées, bien trop souvent immondes ;

Vos richesses en billets, et prières de fortunes

Sous la main du puisant ne pèsent pas bien lourds

Alors tendez la main pour combler les lacunes

Qui vous ont empêché de donner de l’amour.

 

                    André. M.

 

Résumé : C'est un poème écrit par un internaute sur la question des materialste et de la place de l'argent dans nos vies.

 

Source : http://dufonddemoi.rmc.fr/496883/Entre-amour-et-argent/

23 mars 2011

Les liaisons sont parfois dangereuses entre l’argent et l’amour

L’argent est la deuxième cause de fâcherie dans le couple.
Une cause de tension également avec les amis et en société.
Il reste encore tabou. Pas facile en effet de demander une augmentation à son patron.
Mais rend-il vraiment heureux ?
Des neurobiologistes ont étudié le lien entre l’argent et le bonheur.
Dans l’inconscient collectif, on sait que l’argent ne fait pas le bonheur, encore fallait-il le prouver.
Etudes faites sur des gagnants au loto, ils ont prouvé qu’après avoir gagné à la loterie, passé le moment d’exaltation, leur niveau de bonheur revient, au bout d’un certain temps, à son niveau d’origine. C’est une sorte d’adaptation, on retrouve son curseur de bonheur initial. Des neurobiologistes ont étudié le lien entre l’argent et le bonheur.

 Résumé : L'argent provoque des tension avec de nombreuses personnes, on sait que l'argent ne fait pas le bonheur, des neurobiologistes on étudier cette question.

Source : http://telematin.france2.fr/?page=chronique&id_article=21023

9 mars 2011

L'argent fait le bonheur ... Jusqu'a 4 900euros par mois

Gagner plus rendrait plus heureux, selon une étude menée par deux économistes américains. Mais ce n'est plus vrai au-delà d'un seuil qu'ils fixent à 75.000 dollars par an, soit 4900 euros par mois.

La très sérieuse revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences vient de publier une étude qui dément en partie le proverbe selon lequel l'argent ne fait pas le bonheur. Réalisée par Daniel Kahneman, Prix Nobel d'Economie en 2002, et son collègue de l'université de Princeton, Angus Deaton, l'étude porte sur le bien-être de 450.000 Américains interrogés en 2008 et en 2009 pour l'indice Gallup-Healthways.

Les auteurs en viennent à la conclusion que l'argent fait bien le bonheur... mais jusqu'à un certain point. Le seuil est défini à 75.000 dollars par an (environ 58.600 euros), soit près de 4900 euros par mois, sans que l'étude ne distingue le nombre de personnes qui composent le foyer. Si, comme 10% des Américains, votre revenu est supérieur à cette somme, inutile de vous évertuer à gagner plus et donc, inutile pour l'Etat de chercher à vous donner plus. D'après les deux économistes, vous n'en serez pas plus heureux.

 

L'impression d'avoir réussi sa vie

«Au-delà de 75.000 dollars dans les Etats-Unis contemporains (...), une augmentation du revenu n'amène ni à ressentir du bonheur ni à être soulagé du malheur ou du stress, même si cette hausse des revenus continue à améliorer l'évaluation que les individus font de leur vie», écrivent les deux économistes. Autrement dit, gagner toujours plus d'argent renforce le sentiment d'avoir réussi sa vie mais ne rend pas nécessairement plus heureux.

«Peut-être que 75.000 dollars est un seuil au-delà duquel des hausses de revenus n'améliorent plus la capacité des individus à faire ce qui compte le plus pour leur bien-être émotionnel, comme de passer du temps avec ceux qui leur sont chers, éviter la douleur et la maladie, et profiter de leurs loisirs», ont encore avancé les auteurs.

Pour tous les autres, soit la vaste majorité de la population dont le revenu ne dépasse pas ce seuil, leur bien-être émotionnel est bridé par leurs préoccupations financières. A plus forte raison, la pauvreté fait le malheur: «la faiblesse des revenus exacerbe la douleur émotionnelle qui accompagne des malheurs comme le divorce, ou le fait d'être en mauvaise santé ou seul», écrivent Daniel Kahneman et Angus Deaton.

Rassurants, les auteurs ajoutent tout de même dans un entretien : «comme les autres études sur le bien-être, nous avons constaté que la plupart des gens sont plutôt heureux et satisfaits de leurs vies».

 

Résumé : Une étude réalisé par Daniel Kahneman et Angus Deaton montre qu'a partir d'un certain seuil (ici 4500 euros) on peut être heureux.


source : http://www.lefigaro.fr/conso/2010/09/07/05007-20100907ARTFIG00411-l-argent-fait-le-bonheur-jusqu-a-4500-euros-par-mois.php

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